Depuis plusieurs années, le dialogue, la concertation, la coopération – si nécessaires à la construction des politiques publiques – ont été mis de côté par l’exécutif. La légitimité des corps intermédiaires, même, a pu être remise en cause : certains élus les voyant moins comme des partenaires que comme une contrainte supplémentaire à la mise en œuvre de leur action politique. Et pourtant. Qui peut prétendre faire de la politique sans coopération ?
Relire la tribune d'Amandine Lebreton, publiée dans Libération le 18 novembre 2024 à l'occasion d'un événement organisé au CESE par Solutions solidaires et la Fondation Jean Jaurès intitulé "La France qui essaie".